Nicolas Hulot et le Bec-en-Sabot
J’aime bien Nicolas Hulot. Mais là, j’avoue qu’il m’a déçue.
Une publicité pour son magazine Ushuaïa indiquait dernièrement un reportage de plusieurs pages sur le Bec-en-Sabot.
Lorsque j’ai vu cela, j’ai réagi au quart de tour, lançant un branle-bas de combat dont Alain a été la victime principale.
Ciel, diantre, ô joie: un article sur le Bec-en-Sabot!!!
C’est tellement rare que cela méritait le déplacement!
Alain s’est mis en quatre pour me trouver le magazine en question, malgré le fait qu’il était à Paris, n’avait que peu de temps avant de prendre son train etc…
Lorsqu’il l’a trouvé, il m’a appelée en me disant: « J’ai peur que tu ne sois déçue… »
Déçue, moi? Alors que quelqu’un parle de MON oiseau mythique? Impossible.
Hum.
Il faut toujours croire les plus grands que soit.
Il avait raison…
Le reportage en question montrait le chemin parcouru pour atteindre l’oiseau, les rencontres effectuées.
Puis une ou deux photos, trois lignes et fin du bal.
Cruelle déception! Rien de neuf, rien de différent, rien d’original. Rien tout court, en fait…
L’impression que l’équipe s’est fait plaisir en allant voir cet oiseau rare dans son habitat.
Et une photo pour montrer la chance qu’ils ont eue.
Juste de quoi frustrer ceux qui, comme moi, voit en cet oiseau l’une des dernières créatures de rêve de la planète.
Pas bien, ça, Monsieur Hulot. Pour vous faire pardonner, il va falloir y retourner… et m’emmener, tiens!
Parole de passionnée, moi, j’en trouverais des choses à écrire…
Martine Bernier
c’était la 1 fois que je voyais cet oiseau lors de l’émission j’ai eu un réel coup de foudre et une grande émotion je suis daccord avec vous quel rêve quel mystère quelle tendresse on ressent devant cette noblesse dans la pose et dans le regard; je suis peintre et je m ‘empare du sujet pour le faire connaitre et aimé; en général j aime plus particuliérement les animaux que la majorité trouve laid ;comme les hyènes dont je raffole; voilà s’il existe une association pour le protéger ou autre merc de m en faire part bien amicalement